Curepipe
Des Miquelons a l'océan
Les bords du lac
Na Kleuä
Les 2 collines
Tour de Koh
LarnWat Yan,d'une pagode a une autre...
Le ruisseau des crocos
Pays le plus visité de l'Asie du sud-est,la Thaïlande est très connue pour ces plages,ces temples et le sourire de ses habitants...Mais,derrière les images de cartes postales,que cache réellement le pays du sourire?Ses voisins,certains encore sous des régimes politiques très dures,s'ouvrent plus ou moins... A quel prix?Corruption a tous les niveaux,pollution extrême,élite qui monopolise les richesses...
La Thaïlande reste un pays très religieux même si beaucoup pratiquent plus par superstition que réelle croyance.
La prochaine élection en 2017 du chef de l’exécutif de Hong Kong, cette ancienne colonie britannique aujourd’hui rattachée à la Chine, se fera au suffrage universel. Le gouvernement de Pékin s’y était engagé au moment de la rétrocession en 1997 et l'a annoncé ce 31 août dans un communiqué. Une promesse de longue date qui, pourtant, ne réjouit pas du tout les partisans pro-démocratie. Hong Kong, 7 millions d’habitants, une ville grande comme dix fois Paris mais un confetti en comparaison de la Chine. Un petit territoire chinois qui vit d’une autonomie particulière vis-à-vis de Pékin : il a sa propre monnaie, ses propres lois, son propre gouvernement. Désormais, annonce Pékin ce 31 août dans un communiqué, le chef de l’exécutif y sera désigné pour la première fois au suffrage universel en 2017. La décision chinoise a été prise en tenant compte des résultats de la consultation menée auprès des Hongkongais entre le 4 décembre 2013 et le 3 mai 2014, précise encore ce communiqué. Jusqu’à présent, le n°1 du territoire était élu par 1 200 représentants triés sur le volet. Pékin, pour le prochain vote, a quand même posé des conditions : pas plus de deux, trois candidats et surtout ils devront être « patriotes » et « aimer la Chine et Hong Kong ». Comprendre : soutenir le Parti communiste. Un critère arbitraire qui permet d’emblée d’écarter les candidatures indésirables.
Du coup, Occupy Central, un mouvement de désobéissance civile, menace de paralyser Hong Kong si de vraies réformes démocratiques ne sont pas mises en place. Une menace prise très au sérieux par les autorités chinoises. 7 000 policiers ont été déployés dans la ville afin de parer à une manifestation prévue ce dimanche et des blindés chinois ont été récemment aperçus dans le centre de Hong Kong. Des images qui ravivent le cauchemar de Tiananmen en juin 89 à Pékin, où un mouvement pro-démocratie avait été écrasé dans le sang. A 30 km de Hong Kong, à Macao, une autre région chinoise à bénéficier d’une autonomie particulière, Fernando Chui a été réélu ce dimanche à la tête de l’exécutif. Il est aux affaires depuis 2009 et était candidat unique à sa succession...
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