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L'ancienne Première ministre Yingluck Shinawatra conteste les pratiques de la Commission nationale anti-corruption (NACC), qui enquête actuellement sur le programme controversé de subvention aux riziculteurs, et elle porte plainte. L'avocat de l'ancienne Première ministre Yingluck Shinawatra, accusée de corruption et mauvaise gestion sur le programme de subvention aux riziculteurs lancé en 2011, a porté plainte mardi contre la Commission nationale anti-corruption (NACC). Elle conteste la décision de la NACC d'empêcher des témoins de comparaître et qui auraient permis de confirmé la présence d’un stock de 2,97 millions de tonnes de riz que le sous-comité en charge de l'évaluation du programme a relevé manquant dans son rapport. L’avocat de Yingluck dénonce un traitement injuste, puisque la NACC a refusé d'entendre huit témoins additionnels qu'elle proposait d'appeler pour sa défense. Parmi ces huit personnes, l’ancien Première ministre affirme que trois sont en mesure de témoigner de l'existence de ce stock de riz puisqu'elles en étaient directement responsables. Mais la NACC a rejeté sa requête le mois dernier, affirmant que le comité avait suffisamment de preuves pour mener son investigation. L'avocat estime également que le calcul de la dépréciation du riz, ainsi que celui des pertes causées par le programme, estimés par le sous-comité, sont douteux. En recevant la plainte, le vice secrétaire général de la NACC, Witthaya Arkompitak a rappelé que les équipes de la commission inspectaient en ce moment les stocks de riz, en coopération avec la junte, et avaient déjà relevé des irrégularités.
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